Le maire de la ville, Christian Baptiste comprend les inquiétudes légitimes de certaines professions face à la réforme des retraites mais déplore les dégradations répétées des écoles qui perturbent à la fois, la scolarité des enfants et l’organisation mise en place par les parents sans oublier les frais de réparation engendrés pour la collectivité.

Depuis le début du mouvement, une soixantaine de serrures de portes et de cadenas a été imbibée de colle pour verrouiller les accès des écoles. Pour permettre d’accueillir les élèves dans les meilleures conditions et le plus rapidement possible, les services techniques de la ville sont sans cesse sur le terrain pour remplacer les serrures et les cadenas détériorés et couper ceux installés, en plus par les grévistes.